La disparition rapide des vieilles forêts est un problème écologique mondial. Le Québec s’est engagé, en 2008, à maintenir le tiers de la superficie préindustrielle des vieilles forêts sur les terres du domaine de l’État. En Chaudière-Appalaches, environ le quart des forêts publiques (soit 375 km2), exploitées ou non, devraient donc maintenir certains attributs qui permettraient de les considérer comme des vieilles forêts. Dans les faits, la plupart des unités territoriales d’analyse (UTA) de la région sont en déficit de vieilles forêts.